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 Dangers du lait et des produits laitiers ( sujets fusionnés)

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léa
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léa


Féminin Nombre de messages : 4042
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MessageSujet: Re: Dangers du lait et des produits laitiers ( sujets fusionnés)   Dangers du lait et des produits laitiers ( sujets fusionnés) - Page 5 Icon_minitimeSam 20 Juin 2009, 6:42 pm

Le plus grave c qu'il n'est même pas question de SURconsommation
Citation :
Il conseille à la femme ménopausée de ne pas consommer de laitages à cause du risque d'ostéoporose car on obtient les effets contraires d'une reminéralisation avec les produits laitiers. Le lait de vache est trois fois trop riche en calcium et pas assez en vitamine D qui fixe le calcium
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violette

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Féminin Nombre de messages : 7188
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MessageSujet: Ce que l'on devrait dire à toutes les mamans à propos des produits laitiers   Dangers du lait et des produits laitiers ( sujets fusionnés) - Page 5 Icon_minitimeDim 05 Juin 2011, 11:13 pm

Dès les premiers jours…si bébé n'est pas nourri au sein, et même s'il est nourri au sein et que l'on décide de le sevrer, la lecture de ce chapitre du livre "LAIT DE VACHE, blancheur trompeuse" de Anne Larroche de Rosa, aux éditions JOUVENCE devrait permettre une certaine réflexion. Comme d'habitude, chacun en pense ce qu'il veut, mais cet article me semble tout à fait logique... et c'est la raison pour laquelle je le poste ce soir !


Le bébé supporte très mal le sevrage lorsqu’on substitue au lait maternel du lait de vache dit « maternisé ». Le rejet et les perturbations sont immédiats. Ses premières manifestations seront des selles qui s’éclaircissent (c’est une atteinte biliaire), des nausées et des vomissements pouvant aller jusqu’à l’étouffement, conséquence d’une intolérance au lait de vache troublant les fonctions stomacale et biliaire.
Des rougeurs, des boutons, des croûtes pourront survenir ainsi que des diarrhées. Les réactions du bébé seront d’autant plus fortes que celui-ci aura de la vitalité. Et pourtant, la plupart des mamans, mal informées, persévèrent et certaines ajoutent, hélas, des médicaments pour que bébé digère mieux.
Le bébé, par nécessité, finit par s’adapter tant bien que mal à ce régime alimentaire non spécifique. Petit à petit, les manifestations de signal d’alarme se tait. N’ayant ni entendu ni supprimé la cause, la mère s’imaginera que tout est rentré dans l’ordre mais il n’en est rien. C’est grave car le potentiel vital du bébé en est amoindri, l’amenant vers un terrain fragilisé de moindre résistance.
L’encrassement tissulaire commence dès le plus jeune âge par des problèmes inflammatoires touchant la sphère ORL (sinusite, amygdalite, conjonctivite, mastoïdite, méningite). Si les inflammations catarrhales ne sont pas supprimées, celles-ci atteindront l’enfant dans les parties les plus basses (cage thoracique) avec des pleurites, laryngites, trachéites, bronchites.
A la puberté, l’adolescent, soumis à de nouveaux processus hormonaux, élimine tant bien que mal ses toxines par le biais de la peau.
C’est ce qu’on appelle l’acné juvénile qui passera progressivement comme les diarrhées du bébé ont progressivement disparu.
La cause demeurant, la situation reste inchangée. Des signes de carences se manifestent par des déminéralisations (dentaires et osseuses), des troubles du poids, de la vision, de l’attention, s’ajoutant aux fatigues et à la nervosité.
A l’âge adulte, l’inflammation se propage vers la sphère digestive avec des gastrites, colites, cystites, sigmoïdites. L’invasion inflammatoire se fait du haut vers le bas avec une progression plus ou moins rapide suivant l’état du terrain de chacun (potentiel vital fort, faible ou absent) et cette pathologie est d’autant plus tenace et envahissante que les moyens pour arrêter cette progression ne font qu’affaiblir le potentiel vital par absorption de toxines supplémentaires (médicaments) et par la fermeture des émonctoires (antibiotiques).
Encore une fois, on essaie de soigner les effets et non d’arrêter la cause qui reste ici une intolérance à un aliment non spécifique.
Cette progression continuera tant qu’un redressement alimentaire correct ne viendra la stopper.
Toutes ces maladies chaudes inflammatoires, dites en ites, peuvent se transformer en maladies froides, dites en oses (artérioscléroses, tuberculoses, canceroses).
Les maladies silencieuses sont les plus dangereuses et les plus vicieuses. Elles progressent sans crier gare, car le potentiel vital de la personne atteinte s’est considérablement affaibli par la baisse de médicaments, en plus de la continuation de la cause provoquant la toxémie. La phase aigüe du début de la vie et sa force d’élimination vont peu à peu se transformer en phase silencieuse chronique où la maladie s’installe et s’incruste en formant kystes, polypes et indurations. Les processus des défenses immunitaires seront grandement affaiblis et la pathologie accédera à un stade irréversible. Cette finalité est d’autant plus triste qu’elle aurait pu être facilement évitée.
Devant certains signes alarmants et répétitifs comme l’eczéma, les croûtes de lait, les vomissement, les diarrhées chroniques, la constipation, la nervosité, les otites, les angines rémanentes (jusqu’à supprimer des amygdales ou des végétations), l’asthme, le dégoût, les migraines ou le rejet du lait de vache, il serait intéressant de procéder à un tes de transformation lymphoblastique (TTL) afin de mesurer l’intolérance aux protéines de lait (caséine, bêtalactoglobuline, alphalactalbumine).
Des recherches sur la progression de la sur-consommation des produits laitiers, dans les pays comme la France, la Suisse, le Japon, les Etats Unis, ont laissé apparaître une augmentation des cancers. En revanche », dans certaines régions d’Afrique où la consommation laitière est moindre, on relève les taux les plus bas de cancers.
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