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On ne peut aborder ce sujet sans parler d’Albert Cohen, surnommé au U.S.A « l’homme anti lait ». Son site internet :
www.notmilk.com. Il a écrit l’un des livres les plus fascinants et les plus documentés sur ce sujet.
Son livre « MILK, The deally poison (le lait, poison mortel) a fait grand bruit aux U.S.A. Il n’est pas encore traduit en français.
Dans sa dédicace, il s’adresse à « toutes les personnes dans le monde qui souffrent de toutes sortes de troubles de santé sans être conscients de l’origine alimentaire de leurs maux. Puissent-elles découvrir que la fontaine de jeunesse, pour elles, leurs enfants et les générations futures, pourrait bien venir de simplement éliminer le lait de leur vie ! »
Ecrit pas un biologiste, ce livre montre comment les autorités sanitaires ont été perverties par les grandes multinationales qui, dans leur recherche de profit sans cesse croissant, ont mené notre société au bord du suicide nutritionnel.
Le lait, au fil des ans, malgré sa blancheur, est devenu pour les cellules de notre corps l’équivalent des marées noires qui se sont déversées des bateaux pétroliers échoués sur les côtes !
Au départ, le lait est déjà un aliment totalement inadapté à l’homme. Il élève le cholestérol sanguin et les graisses du sang parce qu’il contient du cholestérol et des graisses polyinsaturés.
Si vous consommez autant de produits laitiers qu’un américain moyen, vous absorberez une quantité de cholestérol équivalente à celle de 53 tranches de lard quotidiennes. Si vous avez 54 ans, vous avez suivi ce régime pendant 52 ans, ce qui correspond à 19 345 tranches de lard par an, soit en tout plus d’un million de tranches de lard !
Réalisez vous que dans un seul ice cream se trouve autant de cholestérol que dans six tranches de lard ?
N’est-il pas extraordinaire qu’un corps humain puisse résister à une telle avalanche de graisses ?
Le lait est trop riche en protéines, qui pour être éliminées par le corps, obligent celui-ci à mobiliser son calcium.
Du coup, les produits laitiers que les personnes âgées absorbent sont l’une des causes principales de l’ostéoporose ! La pasteurisation et l’upérisation en font un produit dénaturé et biocidique. Le lait contient 300 fois plus de caséine que le lait maternel. Cette caséine est une colle puissante qui encrasse l’organisme de façon dramatique.
La multinationale Monsanto a produit une hormone de croissance destinée à augmenter la production de lait.
Grâce à ses bénéfices colossaux, elle a pu soudoyer les autorités sanitaires et politiques pour qu’elles laissent mettre sur le marché ce produit sans avoir évalué sa toxicité.
Les éleveurs auxquels on a imposé cette hormone se sont retrouvés avec des vaches qui produisaient presque 50 litres de lait par jour (auparavant, elles en donnaient moins de 10 litres) mais faisaient des infections nombreuses et ils ont dû utiliser des antibiotiques en quantité.
Les taux d’antibiotiques dans le lait sont 100 fois plus élevés qu’il y a quelques années et les autorités sanitaires se sont contentées d’élever les normes limites autorisées.
Aux U.S.A, sur les vingt trois mille tonnes d’antibiotiques fabriqués chaque année, près de la moitié est utilisée pour le bétail !
Cette administration de doses sub thérapeutiques d’antibiotiques au bétail crée de plus en plus de souches de bactéries résistantes aux antibiotiques, ce qui pose un problème de santé publique de plus en plus grave.
Quand vous buvez du lait ou mangez un yaourt, vous ne vous doutez pas que vous êtes en train d’absorber des antibiotiques qui vont détruire votre flore intestinale et affaiblir votre système immunitaire. De plus, si vous êtes allergique à un antibiotique comme la pénicilline, vous risquez de tomber malade sans comprendre que vous en avez absorbé à votre insu.
Il est hallucinant de constater qu’aux U.S.A 80% des vaches souffrent de leucémie.
Le lait de ces vaches est il sans danger pour l’homme ?
Quand les études scientifiques ont montré que cette hormone de croissance stimulait, chez l’homme, le développement de cancers, l’association des médecins américains, l’O.M.S et les autorités sanitaires ont préféré fermer les yeux car les intérêts économiques passent avant la santé des populations.
Depuis 1994, année où l’hormone de croissance obtenue par génie génétique fut autorisée pour stimuler la production des vaches laitières, une véritable épidémie de cancers lymphatiques a frappé les U.S.A
Ce type de cancer, rare jusqu’alors, tue plus que les cancers du sein, de la prostate, du pancréas et des organes génitaux réunis.
Les citoyens américains sont devenus, sans le savoir, des cobayes qui absorbent de l’hormone de croissance à travers les produits laitiers dont ils consomment 90 milliards de kilos chaque année.
Pourtant l’Europe a résisté et, malgré la pression des multinationales américaines (notamment le dossier fourni par Monsanto qui ne comptait pas moins de 23 000 pages) la commission du Marché Commun qui a étudié la question a refusé l’utilisation de l’hormone de croissance car elle estimait que les preuves de son innocuité n’étaient pas suffisantes.
Avec la passion d’un détective, Cohen, « l’homme anti lait », a mis en évidence, de façon irréfutable parce que prouvée par des documents officiels, la façon dont le public américain a été trompé. Au lieu de faire connaître les facteurs nutritionnels qui créent ou favorisent le cancer, on a continué à détruire les tumeurs avec la chirurgie et la chimiothérapie.
C’est plus rentable, n’est ce pas ?
Alors qu’aux U.S.A, du temps de nos parents, explique Cohen, une femme sur vingt était atteinte de cancer du sein, aujourd’hui une femme sur trois est touchée !
Quand on pense aux milliers d’enfants souffrant de leucémie et traités par des chimiothérapies toxiques, on a le cœur brisé devant tant d’inconscience.
Le célèbre Docteur Spock, le pédiatre le plus connu des U.S.A a écrit sur le dos de couverture du livre de Cohen : « le lait de vache a été vendu par le passé comme un aliment parfait. Nous voyons maintenant que ce n’est pas du tout un aliment parfait et le gouvernement ne devrait pas soutenir ceux qui veulent encore le faire croire. »
On découvre ainsi que la civilisation moderne (et surtout les U.S.A, qui en sont le pays phare) est dirigée par des lobbies dangereux pour la santé publique, lobbies qui ont infiltré les administrations et trompé le public depuis des années par des publicités mensongères.
Ainsi, Nestlé, affirme dans sa publicité pour les produits pour bébés, que « provenant des cultures contrôlées en permanence par les spécialistes Nestlé, tous ces produits sont exempts de substances nocives. L’enfant reçoit ainsi, en tout sécurité, une alimentation dont la densité nutritionnelle correspond parfaitement à ses besoins ».
Stupéfiantes contre-vérités !
Pourtant certains des médecins et des scientifiques qui travaillent dans cette grande multinationale n’ignorent pas les informations que nous citons. Mais ils sont tenus de garder le silence pour ne pas perdre leur poste. Ainsi, sont perpétrés les mythes officiels qui correspondent aux impératifs du profit économique.
Il y a quelques années, un groupe d’écologistes avait montré que Nestlé était responsable de la mort de millions d’enfants en poussant les mères à renoncer au lait maternel pour donner à leurs enfants du lait en poudre.
Sous la pression du public scandalisé, la multinationale a légèrement tempéré son ardeur publicitaire sur ce point mais elle continue à tromper les consommateurs en leur faisant croire à l’innocuité de ses produits qui sont pleins de pesticides, d’additifs chimiques, de sucre raffiné, d’édulcorant de synthèse comme l’aspartame (malgré de nombreuses études prouvant son hypertoxicité, ce produit est encore autorisé) de vitamines artificielles et de produits laitiers hautement néfastes pour la santé !
Les multinationales de l’alimentation industrielle et de la chimie existent et prospèrent parce que nous achetons leurs produits.
Si nous ne voulons pas être sacrifiés sur l’autel de leur inconscience, il est temps de nous éveiller aux lois de l’alimentation végétale, variée et vivante, qui permet de vivre en pleine santé, plutôt que de souffrir sans cesse de constipation, d’allergies, de douleurs, de raideurs, de cancers, de diabète et de ces mille et un troubles qui montrent tout simplement que notre organisme est intoxiqué.
Des millions d’américains souffrent d’anémie.
La cause la plus fréquente de cette carence est un manque de fer. La consommation de lait entraîne souvent des saignements de la muqueuse intestinale, par un phénomène de réaction allergique aux protéines du lait, ce qui fait perdre beaucoup d’hémoglobine. Les principaux symptômes de l’anémie sont la faiblesse, la fatigue, la dépression et l’irritabilité.
On remarque cette anémie par perte de fer chez un tiers des enfants nourris au lait de vache, alors que ceux nourris au lait maternel n’en souffrent pas.
On a pu lire dans le « New England Journal of Medicine » de juillet 1992 « Des études ont suggéré que les protéines du lait pourraient jouer un rôle dans l’apparition du diabète chez l’homme. Les patients diabétiques insulino-dépendants produisent des anti-corps contre les protéines du lait qui participent au dysfonctionnement des îlots de Langerhans, dans le pancréas, qui fabriquent l’insuline. Il s’agit d’une réaction auto-immune.
Et dans le « Lancet » de décembre 1996 : « les protéines du lait ont une particularité : dans les pays industrialisés elles sont les première protéines étrangères qui pénètrent dans le tube digestif des enfants, puisque la plupart des laits qui remplacent le lait maternel sont fabriqués avec du lait de vache. Il est possible que ces protéines induisent une réponse immunitaire qui peut être à l’origine de nombreux troubles et maladies d’enfance ».
D’autres chercheurs ont écrit que « de nombreuses études montrent que le lien entre la consommation de lait et le diabète juvénile est indéniable."
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Le véritable problème à la base du développement du diabète est l’énorme quantité de graisses contenue dans l’alimentation occidentale, à cause de la viande, des produits laitiers et des œufs.
Des expériences faites avec des étudiants en médecine ont montré qu’en une semaine à peine d’alimentation très riche en graisse 50% des étudiants étaient devenus diabétiques.
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Les 80% des protéines du lait et du fromage sont constitués de caséine, qui est une puissante colle, celle qui fait notamment tenir les étiquettes sur les bouteilles de bière. Essayez d’arracher une des ces étiquettes et vous verrez la force de cette colle ! On utilise aussi la caséine pour coller les meubles !!!
Pensez à ce que cette colle peut provoquer dans votre organisme. Comme la caséine est une protéine étrangère, le corps crée des anticorps pour la neutraliser. Cette réaction antigène-anticorps fait sécréter de l’histamine et engendre une intense production de mucus, voire de pus. De nombreux chercheurs pensent que la caséine est la principale substance responsable des inflammations articulaires que l’on voit dans les arthrites rhumatoïdes. Cela expliquerait pourquoi la suppression de tout produit laitier permet la plupart du temps une guérison rapide de ces affections.
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Il faut 5 kilos de lait pour faire un kilo de fromage, la concentration des hormones contenues dans le lait est importante. Or, chaque goutte de lait contient 59 hormones différentes, comme des oestrogènes, de la progestérone, de la prolactine…Pouvez vous imaginer les effets que ces hormones peuvent avoir sur la santé physique et mentale des populations ?
Le 40% des aliments consommés par les américains sont du lait, des produits laitiers sous forme d’ice cream, de yoghourts, de fromages et autres dérivés. Un kilo de fromage peut contenir vingt fois la quantité d’hormones qui se trouve dans un kilo de lait.
Robert Cohen s’est écrié : « le lait, c’est surtout de la colle, des hormones et du pus ! »
Il a même découvert que les végétariens qui consomment des produits laitiers, les juifs et les musulmans seront étonnés d’apprendre qu’aux U.S.A, il mangent du cochon sans le savoir !
En effet, la vitamine D2 qui était ajoutée au lait (et qui provenait d’un mélange d’algues et de bactéries exposé à la lumière ultraviolette) a été remplacée, parce qu’elle donnait un goût amer aux produits laitiers, par de la vitamine D3 qui est extraite de la peau ou du cerveau de porcs !
Le lactose des produits laitiers stimule l’absorption de calcium par l’intestin, et ce calcium va durcir la paroi des artères, où se déposent déjà le cholestérol et las acides gras saturés des aliments d’origine animale.
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En plus de tous le problèmes décrits, le lait présente une vraie poubelle puisque la vache concentre tous les pesticides, herbicides et poisons qui sont contenus dans l’herbe ou les granulés qu’elle mange.
J'ai recopié pour vous ce texte dans Viande et lait : des aliments dangereux pour votre santé – Dr Christian Tal Schaller